(Agence Ecofin) - « Le projet va bien et son exploitation sera pour bientôt. Plus de 8000 personnes travaillent déjà sur le site minier » a annoncé le groupe Areva.
L’annonce des mauvais résultats du groupe français et de sa situation financière délicate avait suscité une vive émotion au Niger qui compte sur les investissements dans la mine d’Imouraren pour se positionner en 2eme producteur mondial d’uranium.
Areva ayant déjà annoncé le gel de ses investissements en Centrafrique et largement réduit ses ambitions en Namibie, le Niger avait tout lieu de craindre pour son avenir immédiat.
Apparemment il n’en est rien. Areva a démenti « l’information relayée ces dernières semaines par des médias occidentaux qui ont annoncé que les responsables d’Areva invoquaient l'impact du drame de Fukushima, le déclin des cours de l'uranium, la récession mondiale et les contraintes financières, pour procéder à un ralentissement de leurs investissements programmés sur le gigantesque chantier d'Imouraren.»
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