(PROPARCO) - Avec le social business, l’entreprise privée se met au service de causes sociétales. Ces modèles d’un nouveau genre entendent concilier finalité sociale et efficacité économique, en visant la rentabilité de leurs opérations, donc la pérennité de leur action. À la croisée des logiques économique et d’intérêt public, ils participent par exemple à fournir à des populations exclues l’accès à des biens et services essentiels. Mais les social businesses sont confrontés à de nombreux défis et, pour l’heure, peu d’entre eux ont atteint une taille critique leur permettant d’asseoir leur rentabilité. Comment consolider et amplifier le mouvement ?
C’est la question à laquelle s’attache à répondre le dernier numéro de la revue Secteur Privé & Développement - revue trimestrielle de Proparco - destinée à analyser et à comprendre les mécanismes par lesquels le secteur privé peut contribuer au développement des pays du Sud.
La revue croise expertises, expériences et opinions d’auteurs aux horizons variés. Ici, trois social business, Sanergy, Bridge International Academies et Entrepreneurs du Monde, reviennent sur leur parcours ; l’investisseur à impact Bamboo et l’institution de développement DFID nous livrent leur point de vue sur les questions de financement ; l’association CERISE, le cabinet de conseil Hystra ainsi que Proparco, analysent la situation et les enjeux de ce secteur, encore jeune et résolument prometteur.
Téléchargez la revue sur le site de Proparco, la filiale de l’Agence Française de Développement dédiée au financement du secteur privé:
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