(Agence Ecofin) - Edward Martins, citoyen anglais abonné du groupe de télécommunications britannique Vodafone, présent en Afrique à travers ses filiales Vodacom et Safaricom, a finalement eu gain de cause contre la société qui lui réclamait une facture de près de 15 000 Livres sterling (22 188 dollars). Pendant trois heures, il a observé un sit-in à la direction de l’entreprise de Newbury, dans le comté du Berkshire.
L’homme d’affaires de 52 ans explique qu’en décembre 2014, il a été contacté par Vodafone dont il est client depuis 21 ans. L’entreprise lui a fait part d’une erreur et de sa volonté à recalculer sa facture. Mais aucune nouvelle ne lui a plus été fournie par la société ensuite sur ses nouveaux tarifs. Contre toute attente, la dernière facture qui lui est envoyée par Vodafone porte le montant de 14, 949 Livres sterling à régler. Edward Martins dit n’avoir pas utilisé de texto ou de data plus que d’habitude et ne comprend pas vraiment ce qui a changé dans ses tarifs.
Les multiples appels passés à Vodafone n’ont abouti à rien. « Une fois, j’ai passé huit heures au téléphone après avoir été transféré en Inde, puis à Johannesburg, ensuite en Egypte et ramené en Afrique du Sud », explique Edward Martin. Dans toutes les correspondances échangées avec la société, l’homme d’affaires souligne que les réponses insistaient toujours sur le paiement des près de 15 000 Livres sterling. Excédé par cette situation, il s’est finalement rendu au siège de l’entreprise de Newbury où, après vérification, son problème a été résolu. D’après le porte-parole de Vodafone, l’énorme facture d’Edward Martins a été causée par une erreur de communication interne.
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