(Agence Ecofin) - Il s’agira d’un concours de la meilleure investigation journalistique sur la corruption et la fraude en république du Congo. La première édition sera lancée la semaine prochaine par la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude. Le président de cet organe, Lamyr Nguele, en a fait l’annonce à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption qui se célèbre le 9 décembre.
Le prix sera décerné aux meilleurs journalistes locaux pour leurs travaux de presse écrite, radio et télévision. « L'objectif poursuivi est de permettre aux journalistes de jouer un rôle plus actif dans l'éveil médiatique, pour l'amélioration de la gouvernance en république du Congo », a expliqué Lamyr Nguele.
La corruption n’épargne aucun service de l’administration congolaise, y compris les fonctionnaires, indiquait le rapport 2012 de la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude. Elle appelait à une plus grande attention des pouvoirs publics. En 2013, le Congo était 152ème sur 174 pays dans le classement d’indice de perception de la corruption établi par Transparency International. Malgré une remontée de 2 places par rapport à 2013, le Congo demeure parmi les mal classés, même au niveau africain.
Il s’agira d’un concours de la meilleure investigation journalistique sur la corruption et la fraude en république du Congo. La première édition sera lancée la semaine prochaine par la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude. Le président de cet organe, Lamyr Nguele, en a fait l’annonce à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption qui se célèbre le 9 décembre.
Le prix sera décerné aux meilleurs journalistes locaux pour leurs travaux de presse écrite, radio et télévision. « L'objectif poursuivi est de permettre aux journalistes de jouer un rôle plus actif dans l'éveil médiatique, pour l'amélioration de la gouvernance en république du Congo », a expliqué Lamyr Nguele.
La corruption n’épargne aucun service de l’administration congolaise, y compris les fonctionnaires, indiquait le rapport 2012 de la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude. Elle appelait à une plus grande attention des pouvoirs publics. En 2013, le Congo était 152ème sur 174 pays dans le classement d’indice de perception de la corruption établi par Transparency International. Malgré une remontée de 2 places par rapport à 2013, le Congo demeure parmi les mal classés, même au niveau africain.
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