(Agence Ecofin) - Malgré des résultats sensiblement en hausse en 2021, SDX compte réduire sa production et ses investissements en raison de difficultés techniques.
La société britannique SDX Energy a fourni, le 1er février, une mise à jour opérationnelle de ses activités pétrogazières en Egypte et au Maroc pour l’année 2021. Elle a, en outre, indiqué ses projections pour 2022 concernant ces deux pays, en termes d’investissement et de production.
#SDX is also pleased to provide an unaudited update on its operating results, capex, cash and liquidity for 2021 and sets out production and capex guidance for 2022 https://t.co/OxEZljXqvn
— SDX Energy (@sdxenergy) February 1, 2022
En Egypte, « nos prévisions de production pour l’ensemble de l’année 2022 sont inférieures à la production réelle de 5 886 barils équivalents pétrole par jour en 2021, principalement en raison de la proposition de cession prévue pour South Disouq et de l’épuisement naturel des puits », a déclaré Mark Reid (photo), PDG de SDX.
Du côté du Maroc, SDX compte réduire ses investissements en 2022 d’environ 6 millions de dollars par rapport à 2021. Une situation qui, selon le dirigeant, s’explique par le choix de suspendre, pour 5 ans un contrat client. Ceci, en attendant d’avoir une plus grande précision sur la fourniture future de gaz et sur les prix permettant de soutenir sur la durée un nouveau contrat.
Globalement, la société signale que ses dépenses en investissement vont chuter cette année sur l’ensemble de ses opérations. Elles seront de l’ordre de 21,5 à 23 millions de dollars pour une production inférieure à la moyenne soit 5 900 barils équivalents pétrole par jour, en 2021.
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