(Agence Ecofin) - Pour ceux qui se demandaient ce que pourraient devenir les informations sur eux, mises en ligne pour enrichir leur profil sur des réseaux sociaux et autres sites, en cas de décès, le site web Mashable vient d’y apporter quelques réponses.
Sur Google, c’et l’utilisateur lui-même qui choisit le sort à réserver à ses données personnelles. Les détenteurs d’un compte Gmail, Google+ ou Picasa, peuvent définir une période d'inactivité (six mois, un an…) au terme de laquelle les données de l’utilisateur inactif sont soit détruites, soit transmises à un tiers de son choix.
Au cas où l’inactivité du compte n’est pas du au décès de son propriétaire mais à une toute autre indisponibilité, Google se charge d’envoyer un mail d'alerte et un SMS au propriétaire pour le prévenir de la destruction de son compte. C’est seulement en cas de silence à ces rappels que les données sont détruites.
Sur Facebook, la procédure est légèrement plus complexe. En cas de décès, un de vos contacts peut remplir un formulaire en ligne en votre nom, l'adresse et l'URL associées à votre compte et une preuve de votre décès. Il peut aussi demander que votre compte soit fermé ou alors transformer en « mémorial ».
Sur Twitter, c’est compliqué. La personne qui souhaite clôturer le compte d'un proche décédé doit transmettre son certificat de naissance, son permis de conduire, une déclaration sur l'honneur ainsi que la notice nécrologique d'un journal.
Kigali Convention Center, Rwanda - Annual conference and exhibition, which was established in 2005. The largest and most comprehensive knowledge sharing event for digital education, training and skills on the African continent.