(Agence Ecofin) - Pour sa première année d’exploitation complète, Kamoa-Kakula a livré environ 333 000 tonnes de cuivre en 2022. Le développement de ce complexe qui devrait bientôt devenir la deuxième plus grande mine de cuivre au monde, se poursuit avec l’augmentation de la capacité de l’usine de traitement.
En RDC, les activités de broyage ont augmenté de 22 % au complexe de cuivre Kamoa-Kakula pour atteindre désormais une capacité annuelle de 9,2 millions de tonnes de minerai. C’est l’annonce faite le lundi 27 février par le canadien Ivanhoe Mines qui précise que son actif est ainsi en bonne voie pour atteindre une capacité de production annuelle de 450 000 tonnes de cuivre au cours du deuxième trimestre 2023.
#News- @Ivanhoemines_ announced that the debottlenecking of the Kamoa-Kakula Phase 1 & 2 concentrators has been completed ahead of schedule; it's designed to increase ore processing capacity by 22% from 7.6 to 9.2 million tonnes of ore per annum
— Ivanhoe Mines (@IvanhoeMines_) February 27, 2023
Read➡️https://t.co/YM3L6YbqkZ pic.twitter.com/xad5FQNZUJ
« L’équipe d’exploitation de Kamoa-Kakula continue de dépasser les attentes en livrant une fois de plus un important projet de croissance en avance sur le calendrier et le budget […]. Notre équipe d’ingénieurs dévoués est déterminée à poursuivre ce record d’excellence opérationnelle alors que nous exécutons la phase 3 de notre projet », a commenté Robert Friedland, coprésident exécutif d’Ivanhoe.
Pour rappel, la phase 3 du développement de Kamoa-Kakula permettra d’atteindre une capacité de production annuelle de 600 000 tonnes de cuivre d’ici début 2025. À titre de comparaison, la compagnie a produit 333 497 tonnes de cuivre en 2022 et vise une production de 390 à 430 000 tonnes à la mine cette année.
Lire aussi:
Sofitel Manhattan, NY, USA