(Agence Ecofin) - Le complexe de cuivre Kamoa-Kakula est entré en production en mai 2021 et 2022 fut donc sa première année d’exploitation complète. Le projet s’établit désormais comme l’une des plus grandes mines de cuivre de RDC, permettant au pays d’augmenter sa production nationale.
En RDC, Kamoa-Kakula a atteint les objectifs de production fixés par son propriétaire Ivanhoe Mines. C’est l’annonce faite le lundi 9 janvier par la compagnie canadienne qui précise que le complexe a livré 333 497 tonnes de concentré de cuivre, proche de la limite supérieure de la fourchette de production (290-340 000 tonnes) et en hausse de 215 % en glissement annuel.
#News - @IvanhoeMines_ announced that the Kamoa-Kakula Mining Complex produced 333,500 tonnes of copper in 2022, achieving the upper end of its guidance range. This achievement represents a year-over-year increase of 215%
— Ivanhoe Mines (@IvanhoeMines_) January 9, 2023
Read news here: https://t.co/2lh5xU3jtf pic.twitter.com/vNjZAWkX3e
« Avec l’expansion de la phase 3 en bonne voie, y compris l’intégration de la plus grande fonderie flash de cuivre blister à ligne unique d’Afrique, Kamoa-Kakula est en passe de devenir l’un des principaux producteurs mondiaux de cuivre », a commenté Robert Friedland, président d’Ivanhoe Mines.
La compagnie voit en effet plus grand pour 2023 avec des prévisions de production d’au moins 390 000 tonnes et d’au plus 430 000 tonnes de concentré de cuivre. L’objectif final reste d’atteindre une production annuelle d’environ 800 000 tonnes, ce qui fera du complexe la deuxième plus grande mine de cuivre au monde.
Lire aussi:
Sofitel Manhattan, NY, USA