(Agence Ecofin) - Dans quelques années, Kamoa-Kakula devrait devenir le deuxième plus grand complexe minier de cuivre au monde, avec une production annuelle estimée à 800 000 tonnes. Depuis son entrée en production en mai 2021, la mine monte régulièrement en puissance.
Le complexe de cuivre Kamoa-Kakula en RDC a produit 87 314 tonnes de concentré de cuivre au deuxième trimestre 2022. C’est ce qu’a annoncé le propriétaire de l’actif, le canadien Ivanhoe Mines, dans une mise à jour opérationnelle datée du mardi 5 juillet.
Selon la compagnie, ce chiffre représente un nouveau record trimestriel pour la mine entrée en production en mai 2021. Une performance rendue possible par la mise en œuvre complète de la phase 2 du développement du projet fin mai, ce qui a permis d’atteindre une production mensuelle de 30 379 tonnes en juin.
« Avec les progrès rapides des usines de concentration de la phase 1 et de la phase 2 [Kamoa-Kakula se rapproche] désormais d’un taux de production de 400 000 tonnes de cuivre par an », a souligné Robert Friedland, PDG de la compagnie.
#NEWS - Kamoa-Kakula achieves record monthly #copper production of 29,800 tonnes; Phase 2 concentrator ramps up to steady state ahead of schedule.
— Ivanhoe Mines (@IvanhoeMines_) June 8, 2022
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Destinée à devenir la deuxième plus grande mine de cuivre au monde dans quelques années, Kamoa-Kakula devrait déjà se hisser sur le podium d’ici fin 2024 en devenant le troisième plus grand complexe de cuivre au monde, avec une production annuelle d’environ 600 000 tonnes. Cette année, la mine est en mesure de livrer jusqu’à 340 000 tonnes de concentré de cuivre, ou au moins 290 000 tonnes, selon les prévisions d’Ivanhoe.
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