(Agence Ecofin) - Selon son propriétaire Ivanhoe Mines, Kamoa-Kakula est destinée à devenir la deuxième plus grande mine de cuivre au monde dans quelques années, avec une production annuelle dépassant 800 000 tonnes. En 2023, l’objectif est de produire au moins 390 000 tonnes.
Pour la deuxième fois en autant de trimestres, la mine de cuivre Kamoa-Kakula a enregistré une production de cuivre supérieure à 100 000 tonnes, en l’occurrence 103 947 tonnes pour le troisième trimestre 2023. C’est l’une des informations à retenir du rapport d’activités pour la période publié le 4 octobre par le canadien Ivanhoe Mines, copropriétaire et opérateur de la mine.
#News -@IvanhoeMines_ announces record quarterly production of 103,947 tonnes from Kamoa-Kakula Copper Complex for Q3 2023.
— Ivanhoe Mines (@IvanhoeMines_) October 4, 2023
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Au deuxième trimestre 2023, Kamoa-Kakula a déjà établi un record en produisant 103 786 tonnes. Avec cette nouvelle performance, la mine se rapproche de son objectif de produire entre 390 000 et 430 000 tonnes en 2023. Pour les neuf premiers mois de l’année, la production atteint 301 336 tonnes, soit à peine 30 000 tonnes de moins que sur toute l’année dernière (333 497 tonnes).
« Kamoa-Kakula continue d’établir des records et de dépasser nos attentes, avec des performances toujours aussi fortes en termes de débit, de teneur et de récupération dans les usines de la phase 1 et de la phase 2 », se félicite Robert Friedland, fondateur et coprésident exécutif d’Ivanhoe Mines,
La montée en puissance de Kamoa-Kakula est une bonne nouvelle pour la RDC qui devrait garder cette année son statut de troisième producteur mondial de cuivre, après avoir ravi cette place à la Chine en 2022. Dans quelques années, l’actif devrait même devenir la deuxième plus grande au monde, avec une production supérieure à 800 000 tonnes de cuivre par an.
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