(Agence Ecofin) - « Brouteurs », « Gayman », « Scammers », etc., l’appellation varie selon les pays africains pour désigner les cyber-escrocs, ces arnaqueurs qui opèrent sur le net et qui utilisent la technologie pour faire des victimes. Hameçonnage, faux services, chantage, etc., leurs méthodes sont nombreuses et même souvent doublées d’occultisme.
Si les gouvernements prennent des mesures, comme au Nigéria ou au Bénin ou des raids périodiques sont menés pour les traquer, ces dernières sont néanmoins peu nombreuses et pas assez adaptées pour lutter contre ce fléau qui a cours depuis les années 2000 sur le continent. Nous avons demandé à nos lecteurs quelles solutions ils préconisent.
Il se trouve que nombre d’entre eux sont parfaitement informés des agissements des arnaqueurs. Pour eux, le mieux est encore de sensibiliser les internautes sur les différentes techniques d’escroquerie, et constamment leur recommander de faire preuve de prudence :