(Agence Ecofin) - Avec le développement croissant des technologies de l’information et de la communication (Tic) et des réseaux de communications, l’essor des objets connectés est en pleine croissance. Les firmes technologiques rivalisent d’ingéniosité pour intégrer les objets les plus courants de la vie au monde des données.
Après le bracelet médical, les lunettes connectés, la montre intelligente, les pierres tombales et les plaques minéralogiques RFID, c’est au tour des bijoux de rejoindre l’univers des objets connectés. L’équipe du professeur David Kotz de l'Université de Dartmouth est en train de travailler sur des boucles d’oreilles enregistrant les données biométriques des patients. C’est dans le cadre du projet Amulet dont l’approche est axée sur des objets connectés à usage médical.
Mais dans un monde où la montée de l’espionnage et le piratage est en recrudescence, des interrogations se posent sur le danger que pourrait représenter les objets connectés dans la protection des données personnelles.
Pour David Kotz, il semble ne pas y avoir de danger. Pour lui, «à la différence des objets connectés spécifiquement conçus pour des applications médicales, les Smartphones qui supportent un vaste champ d'application, notamment email ou Internet, posent un plus grand risque d'être confrontés à des logiciels malveillants ».
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