Des ministres Camerounais dont le 1er d’entre eux ont été victimes de création de comptes facebook frauduleux, c’est à dire des comptes crées et alimentés par des individus mal intentionnés. Les victimes ont donc pris la mesure des conséquences de tels actes sur leurs images. Et ont décidé de riposter… Par voie de presse. En publiant des communiqués de mise au point dans la presse imprimée camerounaise, notamment Cameroon Tribune, le quotidien national. En tant que professionnel du numérique, ces sorties posent deux problèmes: Le 1er problème est celui de la gestion de la réputation numérique des fonctionnaires d’Etat du calibre des victimes sus citées. La “détéritorialisation” de la diffusion des informations sur la toile et la “viralité” inhérente à la consommation de cette information exigent aujourd’hui de mettre en place des process de contrôle de son image. La veille traditionnelle existe et reste qualitative, mais Internet a élargi le spectre...