(Ecofin Hebdo) - Dans une étude publiée ce début du mois de juillet 2018, des experts du Fonds Monétaire International, analysant les investissements dans le secteur des infrastructures en Afrique subsaharienne, en arrivent à conclure qu’il y a un manque d’efficience.

L’étude note avec satisfaction que, dans l’ensemble des pays de la région (26 au total) qui ont été analysés, on a pu relever, une augmentation des dépenses visant les infrastructures et l’adoption de meilleures politiques de gestion des projets y relatifs.

Mais malgré cela, non seulement la région continue de souffrir d’un gap important d’infrastructures, mais encore, le stock d’infrastructures existantes souffre d’une qualité insuffisante pour soutenir la croissance des économies et des marchés de ces pays.

Le FMI est l’institution de surveillance multilatérale du système financier international. Un de ses rôles est de s’assurer que les politiques budgétaires (fiscales) adoptées par les pays soient conformes aux standards efficaces et surtout permettent les équilibres financiers, la génération d’une croissance optimale et inclusive.