(Agence Ecofin) - Des journalistes togolais ont organisé samedi dernier une marche de protestation dans Lomé pour dénoncer « des velléités d’atteinte à l’intégrité physique de certains membres de leur corporation ».
Selon Me Benoît Afangbedji (président de l’Association togolaise de lutte contre la torture), les investigations des organisations de défense des Droits de l’Homme « ont confirmé que les agents de l’ANR appliquent des tortures, des douleurs aux accusés. Ceci, dans le but de recevoir de ces personnes, des renseignements ou aveux ».
« Sos journalistes en danger », qui organisait la manifestation, exige un meilleur exercice de la liberté d’expression.