Agence Ecofin TikTok Agence Ecofin Youtube Agence WhatsApp
Agence Ecofin
Yaoundé - Cotonou - Lomé - Dakar - Abidjan - Libreville - Genève

Agenda 5% : pour combler le déficit financier de 68 milliards de dollars du secteur des infrastructures en Afrique

  • Date de création: 18 septembre 2017 18:27

(PIDA) - Le Réseau d'affaires Continental de l’Agence NEPAD a réuni aujourd'hui, 19 septembre 2017, au NASDAQ Stock Market de New York, des investisseurs internationaux et dirigeants d'entreprise de haut niveau, pour le lancement officiel de son initiative intitulée Agenda 5%.

Ce lancement se tient cinq années après qu’un Sommet de l'Union africaine (janvier 2012) a adopté le Programme de Développement des Infrastructure en Afrique (PIDA) avec ses 51 programmes d'infrastructure transfrontalière et plus de 400 projets à mettre en œuvre dans quatre secteurs prioritaires.

Selon la Banque mondiale, le continent africain doit dépenser 93 milliards de dollars par an (44% pour l'énergie, 23% pour l'eau et l'assainissement, 20% pour les transports, 10% pour les TICs et 3% pour l'irrigation) d’ici à 2020 pour combler son manque en infrastructures. Actuellement, ce déficit coûte au continent chaque année l’équivalent de deux points de croissance de son PIB. D'autre part, l'Afrique a seulement réussi à clôturer 158 projets de financement au cours de la décennie 2004-2013 avec une dette s’établissant à 59 milliards de dollars, ce qui représente seulement 5% des besoins en investissements dans les infrastructures et 12% des flux financiers réels.

La campagne Agenda 5% rappelle que seule une approche collaborative réunissant à la fois les acteurs des secteurs publics et privés pourra apporter des réponses efficaces à ces problématiques et appelle les investisseurs institutionnels à augmenter leurs financements dans les infrastructures pour atteindre l’objectif déclaré de 5%.

Intervenant à l'événement de lancement à New York, Ibrahim Assane Mayaki, Secrétaire Exécutif du NEPAD, a indiqué que pour que les fonds de pension et les fonds souverains investissent dans des projets d'infrastructure à grande échelle en Afrique, il convient tout d’abord de régler un certain nombre de problématiques visant à faciliter les financements à long terme. Parmi celles-ci figure notamment la nécessité de réformer les cadres réglementaires nationaux et régionaux qui orientent l'investissement institutionnel en Afrique.
« Les secteur privé et public s'unissent en Afrique pour créer des environnements propices et attirer ces investissements absolument vitaux pour la croissance du continent. En tant qu’Agence du NEPAD, nous sommes convaincus que l'Afrique doit prendre le leadership en matière de financement de ses projets d'infrastructure », a-t-il déclaré.

« Les infrastructures jouent un rôle de tout premier plan pour la croissance du continent. Dans le même temps, elles peuvent représenter une classe d'actifs innovante et attrayante pour les investisseurs institutionnels engagés sur le long terme. En lançant la campagne Agenda 5% à New York aujourd'hui, nous invitons les investisseurs à profiter des immenses opportunités qu’offre l'Afrique et à progresser ainsi dans ce qui ne saurait être qu'un partenariat gagnant-gagnant ».

Le lancement de la campagne a réuni des investisseurs internationaux du plus haut niveau ainsi que des PDG et chefs d'entreprise, issus notamment du Réseau d'affaires Continental (CBN) du PIDA, un réseau dirigé par l’Agence du NEPAD et qui constitue une plateforme de dialogue dédiée au secteur des infrastructures pour les dirigeants du secteur privé.

Représentant le Président de la Commission de l'Union africaine, S.E.M. Moussa Faki Mahmat, le commissaire aux affaires politiques de l'UAC, S.E.M Minata Samate Cessouma, a souligné que l'initiative « Agenda 5% » est importante pour l'élaboration d'une feuille de route concrète et réaliste visant à accroître la participation des investisseurs institutionnels africains dans le développement des infrastructures.
« La Commission de l'Union africaine assurera la promotion de l'initiative « Agenda 5% » qui constitue une source d'espoir. Il s’agit d’un exercice qui se doit de réussir afin que l'Afrique puisse sortir de sa précarité infrastructurelle et accélérer son industrialisation ».

Selon un rapport McKinsey de 2016, les investisseurs institutionnels et les banques disposeraient de 120 000 milliards de dollars d'actifs, dont une partie pourrait donc soutenir les projets d'infrastructures en Afrique.

Aujourd’hui plus que jamais, le continent doit exploiter ce potentiel. À l’heure où les banques font face à des défis réglementaires supplémentaires et que les gouvernements disposent d'un espace budgétaire limité, il devient de plus en plus urgent de débloquer des flux supplémentaires, issus notamment d'investisseurs institutionnels à long terme tels que les assureurs, les fonds de pension et les fonds souverains.

Dans la perspective de l’investissement des fonds de pension et des fonds souverains dans des projets d'infrastructure à grande échelle en Afrique, de nombreux sujets doivent être traités afin de faciliter de façon stratégique les allocations de ressource à long terme. Le premier de ces sujets est la nécessité de réformer les cadres réglementaires nationaux et régionaux qui orientent l'investissement institutionnel en Afrique. De même, il est nécessaire de développer de nouveaux produits sur le marché des capitaux qui pourront réduire de manière effective le risque de crédit et, ce faisant, permettre aux détenteurs d’actifs africains d'allouer des financements aux infrastructures africaines sous la forme d’actifs de leur portefeuille.

Télécharger ici la carte des 16 mega-projets du NEPAD pour transformer l’Afique

Toutes ces problématiques sont au cœur de la feuille de route de l’Agenda 5% qui constitue la colonne vertébrale de la campagne du NEPAD et dont les résultats attendus sont notamment :

  1. Le déblocage de sources notables et mesurables de capitaux nécessaires à la mise en œuvre des projets d'infrastructure nationaux et régionaux sur le continent.

  2. L’élargissement et l’approfondissement des marchés de capitaux africains qui sont actuellement peu substantiels, tout en contribuant de manière significative à l'intégration régionale et à la création d'emplois.

  3. La promotion du développement de produits innovants sur les marchés de capitaux, qui sont spécifiques aux enjeux et au potentiel du continent s’agissant du développement des infrastructures.

  4. La suscitation, sur la base des étapes concrètes et des projets mis en évidence, de l'intérêt d'investir chez les autres financeurs institutionnels et non institutionnels qui hésitaient jusqu’alors à inclure les projets d'infrastructures africains comme actif de leur portefeuille sur la base des prochaines étapes concrètes et des suggestions de projets.

1) Source: The G-20 Compact with Africa – A Joint AfDB, IMF and WBG Report; CBN De-Risking Report.

 

Le Réseau d’Affaire Continental (CBN)

Mobiliser les capitaux des fonds de pension nationaux et fonds souverains pour PIDA et d'autres projets d'infrastructure en Afrique

  1. Nous, dirigeants des fonds de pension et de la communauté des fonds souverains et de la finance de développement en Afrique, investisseurs institutionnels mondiaux, chefs de bourses africaines et spécialistes du financement d’infrastructure, collectivement responsables de plus de 20 billions de dollars en capital investissement, membres du Réseau d’affaires continental du NEPAD, sommes réunis à la bourse NASDAQ de New York le 18 septembre 2017, sous la direction de S.E. Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l'Union africaine, pour lancer l’Agenda 5% sur l'augmentation des investissements institutionnels dans le secteur des infrastructures en Afrique.
  1. Nous rappelons qu'au cours du 18ème Sommet de l'Union africaine (UA) qui s’est tenu à Addis-Abeba, en Éthiopie, en janvier 2012, les Chefs d'État et de Gouvernements africains ont adopté PIDA, le Programme de Développement des Infrastructures en Afrique. Le Plan d'Action Prioritaire de PIDA (PIDA-PAP) comprend 51 programmes d'infrastructure transfrontalière incluant plus de 400 projets à mettre en œuvre d’ici 2020 dans quatre secteurs, que sont l'énergie, les transports, les eaux transfrontalières et les TIC.
  1. Nous notons le consensus mondial sur l'impératif de faire face au grand déficit financier pour la mise en œuvre du PIDA-PAP et, plus généralement, pour le développement des infrastructures en Afrique. Comme l'a souligné le Sommet de Dakar sur le Financement (DFS) en 2014, une augmentation des initiatives collaboratives public-privé est nécessaire pour mobiliser des capitaux risque qui pourront accélérer la mise en œuvre du projet PIDA. En conséquence, nous prenons note également que l'Agence du NEPAD a été mandatée par le DFS pour augmenter et coordonner la participation du secteur privé dans les projets PIDA grâce à la création du Réseau d'affaires continental du PIDA (CBN).
  1. Nous exprimons notre engagement à renforcer le CBN en tant qu'initiative du NEPAD et de l'UA visant à permettre aux responsables du secteur privé de communiquer des recommandations aux décideurs africains de haut niveau sur la façon d'améliorer le climat des investissements dans le secteur des infrastructures. Nous reconnaissons le CBN en tant que plateforme permettant de favoriser une participation accrue du secteur privé dans la préparation et la mise en œuvre des projets PIDA.
  1. Nous notons que les investisseurs institutionnels tels que les fonds de pension et les fonds souverains sont devenus une source de financement potentiellement idéale pour combler le déficit de financement des infrastructures en Afrique estimé à 68 milliards de dollars US. Dans ce contexte, le CBN, dans son dernier rapport sur la gestion des risques pour les projets d'infrastructure à grande échelle en Afrique, a recommandé de créer une plateforme de co-financement des infrastructures destinée aux fonds de pension et aux fonds souverains africains afin de mobiliser les investisseurs institutionnels pour financer des projets d'infrastructure essentiels au développement durable et inclusif sur le continent.
  1. Nous appelons les décideurs politiques à créer un environnement favorable permettant aux fonds de pension et fonds souverains d'investir dans des projets d'infrastructure à grande échelle en Afrique. Pour y parvenir, l’une des priorités est de réformer les cadres réglementaires nationaux et régionaux régissant l'investissement institutionnel en Afrique. De même, il est nécessaire de développer de nouveaux produits sur le marché des capitaux qui pourront réduire de manière effective le risque de crédit et, ce faisant, permettre aux détenteurs d’actifs africains d'allouer des financements aux infrastructures africaines sous la forme d’actifs de leur portefeuille.
  1. Nous sommes grandement reconnaissants que le NEPAD, sous la direction du CBN, ait lancé une campagne révolutionnaire, qui appartient à l'Afrique et est dirigée par elle, afin d’augmenter les financements des propriétaires d'actifs africains dans le secteur des infrastructures africaines, passant de sa faible part actuelle d'environ 1,5 % d’actifs sous gestion (AUM) à un seuil plus significatif de 5% d'AUM.
  1. Nous exprimons notre engagement en faveur de cet agenda 5% en tant que nouveau cadre de partenariat conçu pour engager et exploiter le capital et l'expertise de la communauté des investisseurs institutionnels en Afrique, en particulier les fonds de pension africains et fonds souverains, pour aider à combler l'écart de financement qui entrave actuellement le développement, l'exploitation et la maintenance des infrastructures essentielles, freinant ainsi la compétitivité économique, l'intégration et le progrès social sur le continent.
  1. Nous soutenons l'objectif général de cet agenda 5% qui consiste à élaborer une feuille de route concrète et réalisable afin d’augmenter les allocations des investisseurs institutionnels africains au développement infrastructurel africain jusqu'à l’objectif déclaré de 5%. Cette feuille de route, élaborée par l'Agence du NEPAD, présentera des étapes très concrètes ainsi que les résultats attendus pour notamment accroître les investissements institutionnels dans le secteur des infrastructures en Afrique, en mettant l'accent sur les projets d'infrastructure régionaux / PIDA qui représentent un mandat clé de l'Agence du NEPAD.
  1. Nous félicitons l'Agence du NEPAD d'avoir initié le dialogue si nécessaire qui réunit les principales parties prenantes responsables des décisions de financement, notamment les banques d'investissement, les fonds de pension, les fonds souverains, les agences de notation de crédit, les experts en politiques financière, les régulateurs, les décideurs politiques, les propriétaires de projets, etc. Ces parties prenantes apporteront leur contribution à la feuille de route mentionnée ci-dessus et appuieront la mise en œuvre de celle-ci.
  1. Nous demandons à l'Agence du NEPAD d'aider les fonds de pension, les fonds souverains et les États membres à aborder la question et à réformer les cadres réglementaires, institutionnels et d'investissement et d'identifier et de développer une liste de projets pilotes visant à permettre aux investisseurs institutionnels africains d'allouer des fonds aux infrastructures africaines comme une classe d’actifs.
  1. Nous prenons note du soutien croissant des institutions de financement du développement (DFI) en termes de subventions et de prêts concessionnels pour le développement des infrastructures en Afrique. Nous demandons aux DFI de renforcer leur soutien et de fournir des instruments de garantie qui encourageront les investisseurs institutionnels, en particulier les fonds de pension et les fonds souverains, et le secteur privé, à accroître leurs investissements dans le secteur des infrastructures africaines au cours des cinq prochaines années.
  1. Nous espérons de l'agenda 5% les résultats suivants :
  1. Débloquer des pools remarquables et mesurables de capitaux nécessaires pour mettre en œuvre des projets d'infrastructure régionaux et domestiques sur le continent.
  2. Élargir et approfondir les marchés de capitaux africains actuellement très peu développés, tout en contribuant de manière significative à l'intégration régionale et à la création d'emplois.
  3. Promouvoir le développement de produits novateurs sur le marché des capitaux qui sont adaptés aux enjeux et au potentiel du continent en ce qui concerne le développement des infrastructures.
  4. Augmenter l'intérêt des autres acteurs financiers institutionnels et non institutionnels qui ont hésité jusqu'ici à inclure les projets d'infrastructure africains comme actif au sein de leur portefeuille d'investissement, en se fondant sur des prochaines étapes concrètes et des propositions de projets.
  1. Nous soutenons pleinement l'agenda 5% du NEPAD CBN et, conjointement avec l'Agence du NEPAD, nous avons identifié les moyens suivants pour que les décideurs politiques puissent appuyer la mise en œuvre et la réussite de l’agenda 5% du NEPAD CBN :
  1. Prochaines étapes
  • Le NEPAD présentera ce communiqué au Comité directeur du NEPAD en octobre 2017. Après une large consultation avec les principaux investisseurs institutionnels (c.-à-d. Les fonds de pension et les fonds souverains présents à ce lancement et à l'appui de l'Agenda 5%) et des ministres africains des finances, le Communiqué sera soumis au prochain Sommet de l'Union africaine en janvier 2018 avec l'objectif d'un projet de décision à l'ordre du jour des Chefs d'État et de gouvernements africains.
  • De plus, l’Agenda 5% sera soumis à la reconnaissance de l'Initiative Présidentielle des Champions des Infrastructures (PICI) au cours d’une réunion petit-déjeuner. Par la suite, le Communiqué incluant une feuille de route détaillée et un rapport sera soumis à la réunion des ministres africains des finances pour discussion en mars 2018.
  • Après l'adoption de l'initiative par les Structures Africaines, l’Agenda 5% sera introduit dans les procédures mondiales, notamment lors des réunions de printemps de la Banque mondiale en avril 2018, le prochain Sommet du G7 au Canada ainsi que le prochain Sommet du G20 en Argentine en juillet 2018.

 

À propos du PIDA

Au cours du 18e Sommet ordinaire de l’Union africaine (UA) qui s’est tenu à Addis-Abeba en Éthiopie en janvier 2012, les Chefs d’États et de gouvernements africains ont adopté le Programme pour le Développement des Infrastructures en Afrique (PIDA). Le Plan d’action prioritaire du PIDA (PIDA-PAP) comprend 51 projets d’infrastructures transfrontaliers composés de plus de 400 projets actionnables, touchant les quatre secteurs de l’énergie, des transports, de l’eau et des technologies de l’information et de la communication, et qui doivent être mis en œuvre d’ici 2020. Pour plus d’informations sur PIDA, consulter la page www.au-pida.org

À propos du Réseau d’affaires continental (CBN) de PIDA

Le CBN est une initiative du NEPAD et de l’UA qui vise à permettre aux représentants du secteur privé de faire part, aux décideurs publics africains, de leurs recommandations pour améliorer l’environnement des affaires en matière d’infrastructures. Par ailleurs, les projets PIDA sont mis en valeur auprès du CBN et ce afin d’augmenter l’implication du secteur privé dès la phase de préparation des projets et ensuite dans leur mise en œuvre. Pour plus d’informations sur le CBN : http://www.nepad.org/programme/continental-business-network-cbn. Pour plus d’informations sur le NEPAD et la campagne Agenda 5%, consulter:

http://www.nepad.org/resource/concept-note-nepad-5-agenda-mobilizing-domestic-pension-and-sovereign-wealth-fund-capital


 
FINANCE

Egypte : la société chinoise Wu’an Xin Feng investira 297 millions $ dans une usine sidérurgique

Nigeria : la Bourse des matières premières prévoit de se lancer dans la négociation du pétrole brut et du gaz

Marché des titres de la Beac : le Cameroun prépare la toute première opération de rachat de dette

Fin Culture, une solution au financement de la jeunesse culturelle et créative ivoirienne

 
AGRO

Maroc : le groupe OCP veut lever 2 milliards $ pour financer le développement de ses activités

Le Cameroun signe un accord de 2,7 millions $ avec la FAO pour soutenir les petits exploitants agricoles

Nestlé répond aux accusations sur le sucre ajouté dans ses produits infantiles destinés aux pays pauvres

Ghana : le gouvernement annonce un investissement de 60 millions $ dans la filière anacarde

 
MINES

Nigeria : Bola Tinubu dénonce l’exploitation minière illégale comme source de financement des groupes terroristes

La Tanzanie augmente ses chances de trouver des gisements de graphite en octroyant de nouvelles licences d’exploration

RDC : l’État suspend la licence d’une mine du chinois Zijin alors que le cuivre approche la barre de 10 000 dollars

Les stocks élevés de diamants incitent De Beers à réduire ses prévisions de production pour 2024

 
TELECOM

En 2023, le Bénin comptait 16,3 millions de SIM pour 8,5 millions d’abonnés mobiles uniques (rapport)

Le Ghana milite pour la préférence locale en matière de contenus et compétences numériques

L’ARTCI communique la liste des entreprises habilitées à fournir des services postaux en Côte d’Ivoire

Le Nigeria réfléchit à des mesures qui criminalisent les dommages causés aux infrastructures de fibre optique

 
TRANSPORT

Aéroport de Marrakech : l’office national des aéroports s'apprête à lancer les travaux de modernisation

La Libye et le Qatar mettent à jour de vieux accords aériens pour la reprise de vols directs

Transport fluviomaritime : l’Équato-Guinéen Viteoca ouvre une ligne entre Malabo et Douala

Galison Manufacturing prépare la livraison de 50 nouveaux wagons pour les convois de minerai sur les corridors Zambie - RDC

 
ENTREPRENDRE

Avec Caytu Robotics, le Sénégalais Sidy Ndao permet de contrôler des robots multi-tâches à distance

La start-up malienne Kénèya Koura digitalise des processus de prise en charge sanitaire

Ouverture des candidatures pour le 14e Prix Orange de l’Entreprenariat Social en Côte d’Ivoire (POESCI)

AFAWA Finance Togo: BAD et AGF dynamisent l'accès au financement pour femmes entrepreneures

 
ECHO

UEMOA : les pays acceptant le plus de passeports africains sans visa

CEMAC : les pays acceptant le plus de passeports africains sans visa

Cameroun : importations de véhicules en 2022

Le caoutchouc naturel en Côte d’Ivoire

 
FORMATION

Un programme de formation sur le développement durable destiné aux enseignants en Afrique

Burkina Faso : le projet de formation professionnelle dès le cycle primaire se précise

Projet Better Education for Africa's Rise : la troisième phase cible l’Afrique de l’Ouest

Le Japon ouvre les candidatures 2025 de son programme de bourses aux étudiants étrangers

 
COMM

Ghana : une ONG va accompagner le gouvernement du Ghana dans son soutien au médias indépendants

YouTube teste un onglet "Les plus pertinents" pour les abonnements

Côte d’Ivoire : le cinéma du groupe Pathé sera inauguré le 24 avril

Congo : l’Union Internationale des Télécommunications forme des pays africains sur la gestion de la TNT