(Agence Ecofin) - La communication était au centre du 10ème séminaire Abdeldjebbar Tidjani consacré au thème suivant : « La voie de l’Islam dans le rejet de la violence et les remèdes à ses causes ». Les universitaires et les savants musulmans (chouyoukh), réunis pour la circonstance, ont appelé les médias à « assumer la responsabilité de véhiculer la pensée modérée ».
Le séminaire des 12 et 13 août 2015 a souligné l’importance « d’associer les médias dans la lutte contre la violence et la valorisation de la bonne parole ». En outre, les tribunes médiatiques doivent être utilisées à bon escient par les prédicateurs et les intellectuels. Ils sont invités « à contribuer avec efficience au traitement de la question de la violence et à l’éradication de ce phénomène étranger à la société musulmane ».
Selon les séminaristes, le combat contre l’intégrisme islamique passe par le rejet de la violence sous toutes ses formes. Il faut y faire face avec tous les moyens moraux et matériels, mais aussi avec l’ancrage de la culture du pardon et de la réconciliation.
Le Dr Mohamed Hemam de l’université de Djelfa, a présenté la violence comme « une des premières maladies du siècle, qui s’est répandue au sein de toutes les sociétés humaines, donnant lieu, de par le monde, à de dangereuses accumulations ».
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